La Neige à l'Envers (ou bribànunuches)

J'ai oublié de demander à la tenanciére si elle fait aussi des pommes d'amour...

Alli B. Good a écrit:J'ai oublié de demander à la tenanciére si elle fait aussi des pommes d'amour...

Oui, pour les pommes d'amour, elle fait! Mais comme elle aime, avec plus d'amour que de pomme (L'amour c'est le truc rouge tout autour, parce que une fois que tu l'as tout bien léché, ben t'as plus que la bête pomme, hein? et tu te retrouves tout con devant l'ordinaire!)

Bon, un coup de soufflette pour faire voleter les flocons!

Le truc rouge autour de la pomme peut s'avérer mortel !
Remember Snowwhite !
(En tant que nain, je sais ce que je dis)

Oui mais bon! Sans le truc rouge, Blanche-Neige elle peut pas jouer la morte et le Prince Charmant peut pas lui coller le bouche-à-bouche ressuscitant!
(Cf Chapitre VI des mémoires de Walt Disney)

C'est un de mes fantasmes; Prince-charmer une Blanchette qui de réveillerait au contact des naines lèvres.


(à mon âge, si c'est pas malheureux...)

Pour une fois que je comprends ce qui se passe dans cette section, je passe vous faire un kokou lol!

Minçum, je me suis pris une paillette Mattel dans la cornée avec vous courants d'airs climatises.
J'aime pas les princesses. Ca dors sur lespetits pois au lieu de les mijoter aux petits oignons pour nourrir l'homme!
Même celles qui sont bien éduquées au départ, en petit grillon, conscience du foyer, ravaudant ,récurant les dalles de pierre au savon noir ,prenant soin de la basse cour et du potager finissent par glisser dans leurs rêves de babouches exotiques en vair, toilettes dont le somptuosité frole le dispendieux d'un emir absolu, et carosses sport et chrome pour aller chasser le golden boy.
Non les princesses c'est décevant. Y'a les gourmandes qui s'empiffrent en cultivant leur narcisse devant les glaces, les malhabiles qui se blessent au moindre travail d'aiguille ce qui vous laisse présager du risque d'éborgnement funeste lorsqu'elles tricotteront les layetees pour les beaucoups d'efants de leur vie heureuse future...

Quand au prince charmant, il faut avoir tout de mêm l'estomac bien accroché,parce que lorsqu'il ne sourrit pas il s'inquiéte pour sa belle en parcourant les bois sur son fidéle destrier sans relache. Imaginez les effluves de ponney de ses aisselles et le remugle puissant de sa glotte en prise directe sur son estomac ulcéré d'angoisse à l'idée de ne pas trouver la belle au fond des bois dormant, la feignasse, au lieu de glaner le bois pour rechauffer le brave bonhomme avant qu'il soit mort!
C'est sur qu'olfactivement ca vous reveillerait un zombie!

Mais baste, ceci n'est que contrariété accessoires, me direz vous, avec un bon micro onde et une centrale vapeur, on peut raisonablement envisager d'emmener Cendrillon en balade cheveux au vent parce qu'elle le vaut vien dans le cabriolet Punto acheté à crédit!
Et puis, le celibat passé, Charmant saura découvrir le chemin de la salle de bain ,et s'il est doué, même cesser de confondre le lavabo avec une pissotiére.

Guillotinons allégrement l'individu au nom de la cause du couple, de la famille, afin d'assurer la pérénité de l'espéce par la reproduction ...

Charmant défendra peau d'ane contre les hordes barbaresques et à force de l'embrasser, il restera toujours aussi bête, mais il finira par se sentir beau,vois sentir bon comme énoncé précédement!

Moi j'préfére les marchandes de gauffres, belles comme des speackerines, croisées au hasard des bivouacks,finalement!

Shrek ! Sors de ce corps !

(moi , chuis l'âne qui meumeumme ...)

Merci pour ça :
https://www.dailymotion.com/video/x7gkfg_manu-serve-la-fiancee-du-geek_music#from=embed

j'adore !

"un ogre, c'est comme un oignon...il y a des couches"

"moi ,je ne suis pas un ogre, je ne mets plus de couches"
La petite E., 3 ans et quelques, sillogiste déjà aguerrie!

Si tu balances une boule de neige, gaffe à l'avale hanche!

J"aime pas les princesses non plus...
Ca tombait bien, mes grandes frangines revendiquaient le rôle en se chicorant le chignon et moi, on me laissait être Mousquetaire Pardaillan Surcouf Robin des bois Don Quichotte et Lancelot avec mes quatre frérots!

M'en fait je faisais ma quête moi-même, je crois... On n'est jamais mieux servie...
Fallait qu'il sache mon héros d'amour fou de passion tout à fait légitime pour moi, que j'allais pas m'évanouisser et me pâmer de pas moisson à la vue du bouquet de roses qu'il aurait été me cueillir au péril de sa vie zérhoique... en revenant avec des cicatrices horribles d'épines agressives dans ses jolis doigts
manu-curés avant de me sauter dessus pouravoirbeaucoupdenfantetvivreheureuxtensemble.
Ben y en a même des princes charmeux qui ont été surpris de prendre mon petit pois dans leur oeil de con querant?
Ah ouais, j'aime pas trop les princes charmeux non plus, en fait.

T'as raison, Nuchette !
A la casse les princes z'et les princesses.
Nos idéaux se sont déplacés, au fil du temps (comme si le temps avait un fil...) vers le haut comme il se doit.
On s'est rendu compte q'un idéal (digne de ce nom) se doit d'être inatteignable.
Il est peut-être de l'autre côté de la vie...

Mine, des fois tu dis des trucs vraiment pas cons, mon Grumplentyof (mode Nunuche emmerdeuse taquine mais sérieuse quand même -mais pressée aussi, qu'elle est encore pas douchée et plein de trucs à faire et à gamberger-on respire, trois quatre- enclenché)!

S'cusez le snobisme mais moi , ce que j'aime , ce sont les princes et les princesses pour de faux qui font semblant que ce serait pour de vrai et qui finissent par plus trop savoir si c'était pour de faux , en fait .

Oui ben, i z'ont pas l'air concons, ceux là, après avoir voulu péter les apparences princesques à deux balles et qu'ils se retrouvent en boxer-short ou en coeur croisé playtex à dentelles...
Bon, moi je dis ça... mais j'suis une sceptique de naissance, je crois bien!

Tout dépends des critéres de noblesse que l'on choisit...
Les princesses de conte de fées, quelles viles roturiéres de l'âme, tout de même

J'suis perplexe...

Avec l'Alli-botté aussi, c'est le risque, hein...?
Mais bon, je laisse faire. je ne boude jamais.
Toujours été plus sensible aux contes de fées qu'au compte de faits.

Même aprés l'hivers y'a toujours un printemps. Ca croustille jamais pareil ca crépite toujours autrement
le temps cyclique ouais mais fleuve à la fois immuable et toujours différent
on ne nage pas à contrecourant sans se moyer dans des décollages de géne et autres fillies connes. On accélére ni ne ralenti
on glisse tranquille vers un autre printemps
Ouais on moissonera
on fanera
on automnisera vers les hivers nucleaires à venir
mais en attendant ,vl'al l'printemps qui acidule.

Et les autres et tout ça dans tous ces comptes défaits et ces muses qui valsent musette?
Les autres suivent comem nous le même implaquable courant, mais selon leurs nages, selon leurs virages, ils glissent dans les meandres du delat magique avec les baracudas ou les sirénes, avec ou sans perches, diaphanes comme une volute Duhnill sournois comme un diamant de croque odile ,alluvion fertilles allusions futiles illusions fébriles.
Le temps là aussi est une dimension repére, pas que.
Le temps n'est pas que sablier de clepsyde. Le temps est main mise qui façonne les vides
le temps est aussi celui que l'on s'accorde à voir percevoir ressentir
le temps que l'on saccorde à vivre
en harmonie ou en dissonance avec les temps des autres le temps est une dimansion bien particuliére
sosu ses dehors grossiérement universels
le temps est la frontiére entre le tangible et le concept qui griffe
et pourtant parfois les caresses du temps font une si belle patine,luisante, lustrée, profonde aux reflets pluriels .
le temps tourne et circonvolute sur lui meme serpentin se déroulant sur un ac xe dont la trajectiore certe ineliuctable prendra de fait la vitesse du souffle de chaque mirlitonnant participant à de la fête
au printemps il neige des cotillons sur les herbes fraiches. Fanfreluches et quipures aux branches des noisetiers. L'aue dégéle libére ce qui durant l'hivers, a l'endroit , à l'envers fut trop longtemps figé
Suffit de passer le pont juste pour voir si sur l'autre rive, la dérive des autres toujours aussi belle
juste pour se voir au passage, lorsque l'on se croise, dans notre flotaison reflétée dans les goutes de regard d'un autre qui n'est pas si alter.
Il suffit de passer le pont j'insiste!

Tu me donnes envie d'encore passer le pont, noble amphibien.

OF course Thérèse...comme hiers comme hiers, les cuillers les moutons et les cochons...
Ach horreur malheur, j'ai l'honneur de ne pas te demander ta main ,vaux mieux!