La Neige à l'Envers (ou bribànunuches)

Même si tu peux jurer que tu n'as jamais dit que tu aimais quand ça n'était pas vrai...
Mais quoi? Tu t'es tu discrètement dans les vivats d'apparat en zieutant plus ce public "Applause!" que les acteurs faux-modestisants : "Oh, c'est si peu de chose... c'est mon coeur qui parle et je vous aime si tellement..."...

Mais en attendant, toi, tu la fermes...
Et, des fois, qui ne dit mot consent, qu'on sent...
Et même quand tu te fends d'un mot pour la simple courtoisie de pas avoir payé ta place au concert-berk, on t'en fait une absorbsion adaptable...
Par exemple :
"J'en reste médusée"...
peut t'obtenir en retour un "je suis content que tu aimes"...

La faute à qui, hein? Ben la faute à toi, je dis.
Faut savoir ce que l'on veut. Etre admis pour ce qu'on t'a dessiné, ou revendiquer sans arrêt le droit et le devoir de la librélectronite. Le premier est confortable pour peu que la caresse ne défrise pas ton pelage et le deuxième est épuisant si tu te refuses à la facilité du mordant, du méchant et du vindicatif pour ton propre spectacle.
Un juste milieu alors?... Beurk de beurk, la tiédeur induite, le compromis niveleur... la justification par volonté d'harmonie...
J'ai lu quelque part, ici, "chacun de nos mots est une petite guerre"... La vache! C'est sûr que si l'on part comme ça, déjà à se battre contre soi pour s'exprimer, on est pas sorti de l'auberge espagnole... Oui je sais la logorrhée peut être gerbante aussi... ou endormissante!!!

REVEILLEZ-VOUS!!! Pour deux barquettes de frites, on offre la troisième!!!

On est dans le roboratif,mais qui bourre pas. Les frites, ça se mange sans fin, avec les doigts mêm si on veut!

Ben voilà. T'as tout bien dit new nuche... Si je savais ce qu'on en fait de tout ça, et comment on fait, j'me casserait plus le neurone sur mes paradoxes. J'ai heureusement une échappatoire, ceux des autres ,justement, à condition qu'ils aient de la tenue, faut pas attiger! Enfin de la tenue selon ma subjectivité. Tu vois l'opération nez rouge ne terrain sozie, j'dis bof. L'autre je l'aime bien autre, justement. Ou, c'est sur que pour faire copuler une amibe et une baliene, y'a un peu de travail,mais dans l'idée, c'est une jolie alégorie sur l'alpha et l'oméga qui permet de crever en laissant les gondoles à Venise, à condition d'éviter de s'ensabler dans les lacunes d'indices qui conduisent à le différence outranciére. Mais j'aime bien les défis!
Ca ne fonctionne pas souvent, 'faut le reconnaitre,mais quand ca veut voler, c'est high on emotion!
L'ennui, c'est quand on atteind son propre seuil de compétance dans l'exploration. Plus haut, plus loin ,plus fort, on est pas équipé pour. On aimerait pourtant,c'est certain. On sent bien que c'est la prochaine étape digne de ce nom. Alors on tourne en rond, en surveillant ses BPM, pour tuer le temps, en espérant glaner le gramme de muscle prélevé sur les animaux de passage. Mais j'veux du sauvage, wilde at heart au minimum, ou alors de la précieuse esquivant le ridicule. J'veux ....Mais j'ai pas les moyens d'aller à cette table là. Je rate même les miettes de consomable que les terminators abadonnent sous les tables. j'ai un stock de boulon a faire peur, mais j'ai pas la notice du mécano pour faire de ma tour de babil un truc qui penche pas jusqu'a s'vautrer au final dans la pise !
J'me reprends inéluctablement un cloaque dans la gueule,mais je ne lache pas...

En attendant, j'reprendrais bien des frites,sauf à t'offenser en te réduisant à une fonction gargotiére.

Entre se perdre dans les autres et se perdre en soi,les autres c'est moins pire. On a une chance qu'ils s'y retrouvent, non?

Bon! t'es un peu chié l'Alli...
Mince, si faut t'expliquer le coup du nez rouge, où qu'on va? Où t'as vu que je pourrais n'aduler qu'un sosie. J'ai dit clown pas clone! Si c'est effectivement une "reconnaissance", ce n'est pas forcément une ressemblance SAUF.... eh ouais, sauf à la similitude de désirs et à l'offre de découvertes de moyens jubilatoires même et surtout différents d'y parvenir...
Quelqu'un qui te motive pour oser l'inconnu, son inconnu et le tien aussi. Celui que tu n'avais jamais sorti pour personne. Parce que pas la peine... pas de récepteur adéquat, pas les enceintes idéalement connectées pour obtenir la meilleure accoustique... T'as beau pas être bégueule, tu sais que c'est pas la peine et tu "réserves", on ne sait jamais...
Enfin, moi, c'est ça! L'autre nez rouge, c'est juste une question de répercussion, de grands pas d'un seul coup, d'envol d'ivresse, de tremplin d'inspiration, d'amorce enfin allumée, de secouage de neurones qui sclérosent et ça dans les deux sens... Tiens c'est de la synchronicité réciproque, comme dit une copine à nous (un nez rouge assez impressionnant d'ailleurs)...
Toi, t'es un nez rouge, sans contest! Et pourtant Alli? Le peu que nous avons dévoilé de nos intimités dans nos rencontres webiennes ne nous forcent pas vers qui se "ressemblent s'assemblent", hein? Alors voilà, tête de bûche, le nez rouge, ça se situe à un niveau impalbable de définition pour moi... C'est un peu analogue à ce truc des animaux (si piteusement utilisé, piétiné et galvaudé que j'ose à peine l'utiliser), l'instinct... Sauf que j'y rajoute l'antinomie généralement admise de l'intelligence... Sans que l'un parasite l'autre, au contraire mais le stimule...

Alors, steuplait, pas de raccourcis désobligeants en réduisant à la recherche de quelqu'un qui me ressemble pour me comprendre. Non, les nez rouges, c'est rien que des morceaux de toi en dehors de toi, sans doute, oui qui vont peut-être un peu aider à ta complétitude et dont tu es certaine que tu aides à la leur. C'est rare, faut pas gâcher, faut pas se planter et oui... éphèmères ou durables, superficielles (sur l'apparence) ou profondes, tu ne pourras vraiment t'accomplir, te complèter qu'avec ceux là... Les autres, ben c'est les autres...

Une frite?

Alors, faut en profiter de ce que l'autre te refile de sa subtantifique moëlle pour allumer la tienne et vice-versa. Moi je fais! Sans honte si le consentement exceptionnel est mutuel. Et je me fous, à ce moment là, c'est vrai, pas mal du reste du monde! Je ne le néglige pas, je ... lévite (sans apostrophe)! me prenant au passage les quolibets et les reproches plus ou moins "amicaux" sur mon inconvenance de comportement (un autre truc réducteur aussi...).
Mon nez rouge, il peut être mâle ou femelle, enfant ou vieillard, poète ou pragmatique, ouvrier ou bourgeois, classe ou vulgaire (ce n'est qu'une question de subjectivité passagère!), intro ou extraverti... je n'ai pas de critères limitants limitatifs définitifs. C'est une étincelle qui passe et dont je suis sûre qu'elle est à moi, POUR moi. C'est ce truc d'instinct dont je parlais et qui fait rigoler! Je m'en fous un peu!... Je me sens en effet à un moment prédateur. Mais plutôt gentil comme prédateur qui consommera le deal en s'offrant proie et plus si affinités.
Et encore, faut que je précise, parce qu'on a tôt fait de confondre ta soudaine hyperactivité avec une grosse parade paonesque de séduction à touts crins, que les plumes sont en l'occurence accessoires et ne servent qu'à tromper le profane sur la timidité chairdepoulesque voilée!

Sympatoche tout ça, mais moi les frites je les digère mieux avec une bonne Pils, ça vous donne pas soif à vous ?

Et on en revient au spectacle...
De comment il est reçu.
De comment tu décides ou non qu'on le reçoive. Comment tu décides ou non que l'intersubjectivité interactive hyperactive est non seulement permise mais obligatoire, nécessaire et indispensable quitte à te ramasser la tronche au bout du compte!

Parce que c'est ça dont tu parles aussi, je crois à la fin! Y a toujours un moment, hélas, où y en a un qui s'essoufle, qui ne peut ou veut pas ou plus tenir le rythme... Ben, c'est comme ça! Faut pas en faire un fromage avec l'horrible relevé des comptes, des trop-donnés ou des trop-perçus. Faut être digne, reconnaissant, souveneux, panacheux... Faut lâcher la barre tenue à quatre mains et mille neurones mélangées et laisser filer l'esquif de l'autre au vent qu'il se choisira et trouver sublime la trace du sillage qu'il a laissé dans tes vaguelettes. Toi ou lui, ce n'est pas le problème, c'est juste que les engrenages ne synchronent plus pareil et qu'il ne faut pas hésiter à stopper les machines avant le grippage irréversible!

fahrenheit a écrit:Sympatoche tout ça, mais moi les frites je les digère mieux avec une bonne Pils, ça vous donne pas soif à vous ?

Sers-toi et si tu pouvais me rapporter un café brûlant sans sucre dans une grande tasse...

Mince! Y a de la neige à l'envers partout sur ce forum...
On se croirait à la fenêtre de chez Lucy du Grand Nord, avec des envies JackLondonniennes de sortie dansante sous les flocons fantasques!

Pas évident de se sortir les plumes sans fausser les sains axes...
L'inné, l'acquis... le conquis finalement prime. Pas de l'invasion guerriére,moi aussi j'aime les opératrices nez rouge soucieuse de la fraternités terriennes, mais sans pour autant renier les fidéles et corrosives guerriéres de tout temps... C'est parfois la chevauchée sauvage...Y'a des vaches qui rient?
Là j'essore juste mon buvard,moitié sous acide,doppé d'oxygéne... Et j'fais un sot en loque à la barique à fric frac neuronal. D'la chance! Y'a effeuillage d'emplumés ce soir. J'm'instale gentiment pour jouir du spectacle, comme à chaque fois que je croise les bluebells girl's en tournée... Et je me retrouve finalement enkysté au comptoire de bois brut,comprenant peut être un peu mieux les micro transparences des eaux discrétes,m'enfin j' espére quoi!
Et si aprés la krieg ,je passais à la gueuse?
Ouais, il a neigé sur yesterday,heing... Y'a plus d'saison ma brave dame, z'avez remarqué vous aussi? Mais au delà d'un accord de principe sur la place du nez dans les figures stylées, je tergiverse et me déverse en oubliant de poeller le tofu! On sait jamais, y'a des épicuriens de passage qui pouraient ,contre toute attente, aimer ça! Sinon ,je me fairai une orgie solitaire, j'aime pas gacher.

nez nuche a écrit:le nez rouge, ça se situe à un niveau impalbable de définition pour moi... C'est un peu analogue à ce truc des animaux (si piteusement utilisé, piétiné et galvaudé que j'ose à peine l'utiliser), l'instinct... Sauf que j'y rajoute l'antinomie généralement admise de l'intelligence... Sans que l'un parasite l'autre, au contraire mais le stimule...

Ca c'est un paradoxe que j'aime bien, dans l'idée. Parce que c'est pas si simple à maripuler( in memoriam le manupilateur)...
On a vite fait d'exiler sur la planète fantasque de l'instinct ce qui dépasse l'intellect. De là à sublimer le bon sot vache, y'a qu'un faut pas! Pas de procées de mauvaise intention dans mon petit préhambule heing. J'voudrais pas me prendre le paon sur le bec!
Mais là j'me coince dans les synapses parce que j'arrive pas à faire deux trucs en même temps( je sais bande de sexistes, j'suis du genre mâle ceci explique cela...)
Pour lacher la bride au ressenti, faut déconnecter le raisoné, non?
Si j'admets que j'ai bon sur la premiére affirmation, alors ce serait une sorte de va et vien entre la captation d'info traitée subjectivement et celles traitées par l'intellect ultra rapide permettant de répondre dans un délais acceptable aux sollicitations de passage?

Ouis, j'me permets de poser mes moon boots loudeaudes sur le moelleux immaculé .
Pardon de tasser avec une certaine impudeur tes christeaux délicats et frissonants, ,chére poulette!
J'ai une légendaire délicatesse de wookie à entretenir, faut dire, à ma décharge ,et je suis trop cabotin pour m'en contrefichtre vraiment!
Tu vois des frites taillées dans cette bintje là, ça m'interesse. Mais j'ai peur d' être trop épais dans le mince pour arriver à bien saisir la croustillance qui fait toute la différence.
Parce que le va et viens limite vibrato instellinctuel soit ça me flingue la corde sensible illico, soit ça me ravage l'entendement presto.

Alors ,maestro, allegro ma non troppo,crache ton solo!

Houlà, l'Alli me demanderais-tu de dé-corps-ticket, l'essence de mon essence, du sans pont au gaz-ailes...

Mince, livrer l'explication de ma bizarreté revendiquée et assumée et non imposée. Ben là... j'suis un peu courte, l'ami... Et pas parce que j'ai rien à dire, hein... au contraire, justement... mais le moment est-il vraiment venu? le monde est-il près pour la révélation?...

(En fait, j'ai déjà commencé plein de trucs en même temps depuis mon réveil... oui, c't'une faculté féminino-congénaturelle hypertrophiée chez moi) et y a des sujets qui ne souffrent pas la dispersion si efficace qu'elle soit, qu'on réponde ou non à la question posée...)

Alors, je finis ce que j'ai lancé over another rainbow...

J'ai piqué dans tes céréales bien bio...
t'as des biscottes?

Alli B. Good a écrit:[Alors ,maestro, allegro ma non troppo,crache ton solo!...

Bon, je vais essayer...
Juste laisser venir...
Je voulais disséquer et répondre en te citant phrase by phrase mais, en fait, ça me coupe un peu la spontanéité de la réponse. Faut que je laisse aller.

Bon! le problème, c'est que tu ne peux/veux pas admettre la simultanéité de la réaction intello-instinctive (ou le contraire comme tu veux, y a pas de prime au vainqueur pour moi). Tu ne peux la concevoir que dans la dissociation des deux ingrédients qu'on ne peut "goûter" que tour à tour. Et donc à partir de là, ça me devient difficile de ne pas passer pour une douce illuminée du bulbe en te disant "ben si, c'est possible"...
Tiens, ça me fait penser un peu à l'image de ce rêve dont, à un moment, je sais qu'il en est un, mais que mon JE conscient décide de poursuivre...
Un peu, c'est tout, hein?
Mais, il y a ce même mélange de défini et d'indéfinissable qui loin de s'affronter vont s'associer pour la découverte de nouveaux espaces!
Alors, comment t'expliquer sauf à vouloir ignorer les discrets index vrillés sur les tempes conformes que je m'évertue par ailleurs à ne pas effrayer???
Donc, essayons de rester shématique... Imagine... Accepte de raisonner par l'absurde (des fois, c'est pas si con...)
D'une part, un corps de chair, d'os, de terminaisons nerveuses, de sang... etc... etc... Un truc juste réactif aux impulsions extérieures quelles qu'elles soient.
Ce truc que l'homme intelligent a appris à maitriser, dompter, ordonner, discipliner, étouffer... en le connectant directement à un cerveau bien formaté pour l'analyse plus ou moins efficace de l'information ainsi transmise. Ok? Toi c'est comme ça que tu vois. Deux entités différentes et interdépendantes à l'avantage ou au détriment de l'une ou l'autre...

Maintenant, imagine l'absurde. Une démultiplication en cellules de réceptivité associée. C'est à dire qu'à chaque impulsion instinctive, il y ait l'acceptation totale de l'information et le traitement simultané adéquat et intelligent pour l'exploitation maximale de l'énergie ainsi reçue. Pas de gâchis par rejet systèmatique de ce qu'on ne peut définir! Une acceptation mutuelle de se laisser-faire par le savoir-faire de l'autre. Un équilibre, une transigeance sans que l'un prenne le pas sur l'autre mais au contraire s'en trouve stimulé... Une intelligence instinctive, un instinct intelligent...
En fait ça existe déjà, je crois... mais comme c'est pas trop bien capté et que des fois, ça fout la pétoche et que le monde est plein de charlatans et plein de crédules, la discrètion reste de mise pour les pauv'bizarres atteints et qui désespèrent...
Tu sais quoi?
Je crois aussi que beaucoup font l'expérience anarchique de cette assossiation de complétitude étrange mais il leur faut souvent l'aide de substances désinhibantes qui s'occupent de neutraliser les barrières intellocastratrices.

Ben voilà... Euh... je t'en veux pas si t'as rien capté... Même moi, là... et pourtant tout est bien "coloré" lisible pour moi au départ... mais les mots coincent toujours l'idée trop volatile dans l'exiguité de leurs murs!

Alors, ben je renonce... et fuck aux index tamponneurs de tempes mieux-raisonneuses (je ne parle de personne en particulier et en vrai surtout pas de toi, d'ailleurs)... Je leur concède bien volontiers les terrains des vérités palpables. Moi, je veux juste des fois continuer dans des drôles d'inconnus inexpliqués... Juste pour le fun débridé. Ca ne fait de mal à personne et ça c'est important, je crois.

Tiens... je ne résiste pas...

Mimimatimec a écrit:

OhOhOh a écrit:S'ils ne te connaissent pas.... qu'ils apprennent... et vite

Ouais ! Pas toujours claire, Melle Nunuche; faut se farcir sa syntaxe, par moment (je vais la vexer, là ).
Enfin, pour un con de belge même pas francophone, veux-je dire...
Mais, je suis certain qu'elle aura à coeur d'améliorer son style ambigu pour plaire à son nain préféré (poil au péroné)

Tu sais, Grumpète, c'est pas grave! Tu me relies cuir et tu m'ajoutes dans ta biblio et tu me cites quand tu ne sais pas quoi répondre...
Je souris, bien sûr! J'admets qu'il peut paraitre difficile quelquefois de rester en équilibre sur le déroulé du fil de mes pensées. Faut du souffle, de l'abandon consenti de sa propre prison neuronique et de la vivospontanéité (et va pas chercher dans le dico, cui là n'existe pas non plus) et une propension aigüe à l'auto-dérision...
Cependant, à moins que je ne l'aie souhaité, tu trouveras rarement à redire sur la forme syntaxique dont tu te réclames spécialiste (ce que je t'accorde bien volontiers, même si tu me pardonneras de noter quelquefois malgré ton savoir annoncé, quelques petites coquilles bien sympas). Mince! Regarde-la, par exemple, l'auto difficulté à contenir l'hyper-vigilance de mon esprit à l'affût : en écrivant "coquilles", je me suis aperçue que ce mot, ben, tu lui enlèves son "q", il part en couilles!!!
Bref, mon Grumpy... Ce n'est pas sur la forme que mon style te pose des problèmes. Parce que là, ma modestie dût-elle en souffrir, si je ne suis pas à l'abri d'une étourderie ponctuelle, je pense n'avoir pas grand-chose à envier aux plus calés des manieurs du verbe. Et j'alimente même avec de nouveaux mots notre vocabulaire quelquefois un peu pauvret pour exprimer totalement mon sentiment à un instant "t".
Donc, ben ta demande là-haut, pour qu'enfin tu puisses accéder à l'ultime compréhension de mes fantasques délires écrivaillonnesques, je n'y peux pas grand-chose, mon Grumpy-ras-des-pâquerettes. Faut accepter le voyage que je n'impose pas. Tu suis, c'est bien, tu suis pas, ben tant pis hein? Je ne suis pas contre une explication quand on me demande, au contraire, pour placer un escalier à la place de mes échelles de corde mais j'ai plus de goût pour tricoter les métaphores que pour l'assemblage simple de légo-mots.
(Euh..., je me demande si tu es toujours avec moi, là?...)
Mais ceci-dit, malgré ton apparente émerisation à mon own-blue-steel, ben tu sais, je t'aime bien pour de bon! Je trouve que tu as vraiment bien choisi ton avatar, de vieux grincheux tendre et tu es un des rares qui se mangent mes taloches pour ce qu'elles sont vraiment : juste des manifestations légitimes, sans intention de méchanceté, de redressement d'un jugement me concernant qui me semble juste complètement euh... complètement... pouarf disons!
Tu fais partie de ces gens délicieux qui font fi de la susceptibilité parasite et tenace et malgré la glu qui te bride un peu trop à mon avis, les ailes de la poésie libarateuse (hé oui), je te trouve un excellent compagnon de route!
N'ayant pas le mécanisme compliment en libre service, j'espère que ma syntaxe, présentement, te permettra juste de choper l'hommage présent. Sinon, retourne à tes reliures, petit homme et si de temps en temps, t'as besoin de tabouret, appelle!

(P.S. : Et là, d'un coup, je me demande...
Ce s'rait pas du machisme à l'envers, ça???
Du contre-machisme?
Du crime de lèse-majesté-couillesque.
De l'insupportable haro-ganse de chamboulage de con-concepts pré-imprimés.
A noter que je me sens aussi bien capable de faire bouffer à une harpie du féminisme-conassier-hystérique sa bannière de limitée des neurones!
Plus d'ailleurs, admettant sans discuter mon penchant inclinatoire évident pour les hommes)

J'ai essayé de percevoir cette synchronicité dont tu causes...

Parce que ce n'est pas parce qu'elel m'échappe de prime abord qu'elle:
-N'est pas pour d'autre
-Qu'elle n'est pas aussi pour moi à l'insu de mon plein gré.


J'ai tendance( d'instinct à tord ou a raison, va savoir...) à ne me focaliser que sur l' analyse ou le ressenti lorsque je suis en prise avec mon environnement. Hors... Tout bien repensé, le viscéral pour être exploité combiné avec l'intellect, se doit de passer par une prise de conscience.
Illustration hiers soir:
Je cogite en épluchant mes frites pis merde, je me coupe.
Là j'ai mal ,evidement, et avant de comprendre pourquoi j'ai mal, je retire en mode reflex le couteau de la plaie. Je me souviens ,parce que j'ai fait un effort de rétension d'info pour piger un peu ce que tu dis et le confronter à ma réalité propre, qu'avant d'avoir mal, je réfléchissais à savoir si justement, en me concentrant sur la préhension du monde par le réfléchi, le monde du Verbe, quoi, je pouvais sans intellectualiser me concentrer simultanément sur la sensation de fraicheur de l'eau qui coulait sur ma patate et mes salsifits. Rien que me dire "soit constient que c'est froid, ça fausse, ca intellectualise le ressenti...et crac, je m'empique la pliure de la phalange!( z'inquietez pas, c'est plus que bénin!)
Bel la douleur a bloqué net la reflexion pour me plonger dans l' animalité du "putain cong, ca fait mal"

Alors que subconsciement une partie de mon bulbe soit encore a jongler avec les concepts et les lines logiques, je n'en disconviens pas forcément, mais le conscient ,chez moi, fon,ctione en mode "ou exclusif "à tendance prioritaire sur le raisoné. Je ne sais pas si c'est mal ou bien, mais ... c'est!

Mais admettons la possibilité d'uen sorte de surimpression simultanée que tu pourrais percevoir consciement façon transparence d'aquarelle par exemple. Ou est ,en général, l'arriére plan? Tripes ou cerveau?
Admettons que tu aies la capacités de mélanger les couleurs pour faire une sorte d'abstraction surréaliste frolant le psychédélique qui serait le monde selon Nunuche...
Je conçois que l'on puisse ralentir ou accélerer certaines neurotransmissions pour arriver à ces illusions d'optiques, un peu comme en jouant a "voir un trou dans sa main en désynchrniqsant la stréroscopie des nerfs optiques...
Ca se maitrise avec plus ou moins de bonhuer dans l'usage des drogues, certe....Mais toi t'es sous acide en permanance ou tu peux par ta volonté choisir le mode de perception?

Ouais je sais j'ingére un peu...mais tu connais mon appétit de chemins de traverse.
La gourmandise, c'est un vice que j'assume pleinement!

Tu sais quoi?
Il parait qu'à ma naissance, malgré la conscience professionnelle du praticien éprouvé qui s'est ingénié à me suspendre d'une main par mes petits petons et à me flinguer mes petites fesses menues de sa main libre, je n'ai consenti qu'aux larmes et à la moue réprobatrice devant dans tant de barbarie. Je n'ai pas crié! Le toubib a dit à ma pauv'm'man exténuée : "bizarre" et noté dans le carnet :"absence de réactivité inquiétante" (genre : il doit lui manquer des connections obligatoires, la pauv'chérie).
Alors la douleur...
Ben, je ne réagis pas comme toi, à la coupure dont tu parles. Je te parle de ces petits évènement douloureux avec la rencontre de ton corps avec un truc pas prévu, pas conforme, inattendu et agressif.
Alors, tu me crois ou pas, mais je n'ai aucune raison de raconter des conneries mais cette simultanéité dont je t'ai parlé, il me semble qu'elle intervient aussi. Je t'explique (ou j'essaie, hein? Pas facile...). Si je me coupe, ma partie intelligence se met en garde tout de suite et est prête à recevoir l'information "douleur" avant même que celle-ci n'ait eu le temps de prendre consistance. Tu me diras qu'alors il n'y a pas simultanéité. Ben si, il y a juste une sorte de "temporisation", de rétention avant l'explosion. Une sorte de : "deux secondes et je suis prête" et ça après le choc. Ca fait mal aussi, rassure-toi mais le lecteur est prêt pour l'analyse.
Et là, je deviens un vrai réceptacle. Une sorte de flipper avec plein de billes lumineuses, acérées, électrisantes qui me percutent du bout du lobe à la pointe du petit orteil. Une marée d'équinoxe, avec un bruit assoudissant, avec son paroxisme (y?) et aussi son reflux et tout ça parfaitement observé.
Bon, on ne m'a jamais étripée ou écrabouiller les phalanges mais j'ai quand même subi quelques gros traumatismes physiques. En particulier, avec avoir pris de plein fouet, un pauv'gros con descendeur de piste noire tout shuss sans posséder la technique adéquate.
Je me suis retrouvée projetée dans la poudreuse hors piste.. Je me suis assise et j'ai regardé la bosse, là où d'habitude, y avait un creux au milieu de ma clavicule. Ben, c'était... incongru! j'ai posé la paume de ma main sur la bosse et je l'ai repoussé très fort(en fait, j'ai remis la tête de mon épaule à sa place initiale) et j'ai pensé : Ok, c'est bon maintenant. Et là, la ronde des petites billes s'est lancée. J'ai observé un moment avant de tomber dans les pommes, mais même ça j'ai observé!
Voilà, je ne sais pas si c'est compréhensible mais dans le cas de la douleur, cette simultanéité permet une sorte de maitrise du plus efficace sur l'autre. En l'occurence l'intellect me permet d'être prête a la réception et à la réceptivité. De savoir par exemple que je ne vais pas mourir, là, que je ne peux pas éviter l'épreuve et que ça va faire mal, mais que je le sais, bordel!
Ca c'est juste pour la douleur. Et je ne parle pas de souffrance installée dans la durée, d'accord? Juste celle qui t'arrive, impromptue, dans la tronche.
Mais ça me fait ça aussi pour d'autres "sensations" où c'est la partie animale qui tient l'intelligence en respect sans s'en affranchir parce que... parce que c'est le mieux pour vraiment tout absorber, ne rien perdre.
Bon je relis pas, j'envoie...
(en fait, je viens de m'apercevoir que J'AI FAIM!!!.)

Well...
Ben ça se détermine d'instinct à priori la selection sur le mode animal ou sur le mode intellectualisé... J'ai bon ou pas?

Et t'as l'instinct qui te branche généralement sur l'intellect...
Je crois qu'au fond c'est plus une question de découpage( de cheveux en 4) qu'autre chose.
Je ne dois pas placer les barriéres de la synchronisation et de la temporisation sur la même échelle que toi....
Ensuite, beh le touché effectivement me fait virer vite sur le mode instinctif...c'est pourquoi je déteste être papouillé à tord et à travers, sans doute. L'animùal on a toujours peur qu'il prenne le pas sur le sapiens et on ne sait pas, par définition où ni comment l'arrêter, 'ce pas?
J'ai pas dit qu'on peut pas.....
Ne pas savoir, c'est grisant et flippant à la fois, certe, mais pour oser le flip, faut que la papouille soit des plus enivrantes ou présupposée comme potentiellement telle.
Ce qui induit une gestion du territoire spatial bien ferme d'ailleurs....

Am I too old for those shitts?

La révision obligatoire de papouilles, c'est recommandé pour le cours de décomplétude, mon vieux!

Faudrait pas croire que les autres vont décompléter pour toi.

Tiens, fais moi une frite au sésame, s'teuplait avec une de tes sauces. Merci

de la décomplétude du cortex à la décomplexion du corps sexe, y'a un pas qu'est gravement impliquant quand même...

Bon j'vais faire tes frites au lieu d'glisser sur la neige ... On s'retrouve des fois embringué malgré soi sur des pistes noires alors qu'on a seulement l'aptitude pour les bleues!

Alli B. Good a écrit: On s'retrouve des fois embringué malgré soi sur des pistes noires alors qu'on a seulement l'aptitude pour les bleues!

Ben pourquoi pas? C'est quand même un peu le but, la chance ou le risque induit de cette fameuse décomplétude, non? Faut faire gaffe de ne pas débarouler tout shuss en te croyant the new king of te world, c'est tout, je crois...
Le plaisir enivrant de la vitesse, ça peut s'acquérir sans obligatoirement impliquer trop de dommages collatéraux!?

Tiens... Le plaisir de la vitesse... Encore un truc à ressentir dans la symbiotique harmonie animalo-analysensée...

Le speed dating, j'suis pas sur que ce soit la meilleur option pour expérimenter le télémark...
Moi j'dis que pour connaitre l'ivresse de la vitesse en se lançant depuis les sommets inconnus, faut un minimum baliser la piste ou alors la jouer solo.
C'est encore un paradoxydal systéme, ça.
Jusqu'ou poser des jalons sans tuer l'impulsion .
L'inconscience n'est possible que lorsque l'on néglige l'impliquation et sans impliquation, on a pas la gravité suffisante pour impluser l'élan grisant qui fait frissoner au contact des alters éléments.
Ouias mais, à conceptualiser de trop, on se retrouve paumé dans les ethers des cimes et on caresse dans l'vide, dans le fantasmé, dans le projeté.
Entre le laborieux planté de bâton et le free style maitrisé, y'a de la route.
Je sais que j'aime les éclaboussures de stems, les sapins givrés... et le vin chaud!
Mais je sais aussi que je suis rétif à la discipline de l'entrainement évitant la luxation du je nous

Quand t'as pas les moyens de tes ambitions, tu renonces ou tu bosses?
Ouais je sais les deux en alternance, comme pour le slalom ou tu passes d'un appuis sur l'autre, une porte feeling ine porte brainstorming.
Sauf que j'ai horreur du chrnométre
Si ca accélére, bah j'essaye de pas me casser la boule dans les nevés. Si ça ralenti, bah avec du pot, on entrevois un chamois, voir même si on a pris trop de neige un dromadaire à poil dur!

Ready for a track?

Go!
La soif de sensations, je suis pour son étanchement (?) mais pas sans garde-fous, je crois bien.
Mais, là aussi, je cultive le paradoxe.
Je travaille avant. J'anticipe l'espace où je vais pouvoir évoluer sans extrême danger pour les autres et pour moi.
Je crois qu'en fait, je suis du genre "raisonnable foldingue". Faut que je sois sûre que "je peux" vraiment me lâcher. Bon mes cônes de danger, je crois, sont quand même bien très perso, et par exemple quand mes spatules commencent à trembler sur la neige, laissant le doute entre maitrise et hasard, je sais (en général) qu'il est temps de stopper l'animal (je me suis quand même, des fois, plus jeunette, offert des "décollages" que je n'avais pas vu arriver).

Tiens, c'est comme l'alcool. J'aime la douce glissade de la désinhibition euphorique autour de l'ambre fumé d'un pure malt de derrière les fagots. Et je la pratique assez rarement pour en apprécier la nouveauté à chaque fois. Or, je peux avoir accepté volontiers que l'on me resserve un autre verre et savoir exactement au moment où je le porte à mes lèvres que, non, c'est juste pas la peine. Au delà, ce serait le "trop". Et je t'assure que ce n'est pas une histoire de "pas bien, pas moral, indigne... etc, etc", c'est juste que JE SAIS, MON CORPS SAIT que j'en suis au maximum de ce que ça peut m'offrir de possibilités d'envol en liberté "positive" ce dont j'ai profité à fond jusqu'au stop qui, là, me semble bien venir de l'animal.
Alors, j'ai généralement tendance à me faire confiance mais, quand j'essaie d'expliquer pourquoi je refuse de boire une gorgée supplémentaire dans ce verre que j'ai accepté (je crois même que je peux l'avoir réclamé des fois!), ça a du mal à passer, la compréhension!!! Et... je comprends!

J'm'en vais poser un p'tit flocon de Koch sur ton blanc manteau( Ouais, c'est ma monomanie présente, non pour avoir des réponses ,ni même des questions mais juste pour voir autrement. Je suis facilement tenté par la curiosité et j'aime me laisser glisser sur cette pente,parfois bien au delà du raisonable...)

Si tu prends arbitrairement le triangle toi moi nous comme unité de départ pour l'objet d'étude dans les relatiosn humaines, histoire de ne pas partir sur une échelle trop grande qui certe donen un point de vue, mais ou les lois ou du moins les semblants de lois peuvent s'averrer trés différentes, parce qu'obligatoirement généralisante faut d'avoir l'aptitude à gérer le flux d'info conséquent vu le nombre d'interaction possibles et leurs chaotiques impliquations, du domino papillonant a la rupture du temps

Admettons donc le cadre relationnel Paulo Virginien ou Robinsono Vendreditesque simplifié ( et théorique)

Ca se joue ,du moins peut on le supposer dans un "espace" à 4 dimension
les trois geographiques plus le temps

Mais si matériellement on peut situer Toi et moi en fonction de ces actes et déterminer des trajectoires potentielles si on estime que la variable temps se contente de produire des itérations à l'identique( là encore choix arbitraire et simplificateur ,parce que la variable temps....j'avoue que sa complexité me vertigine grave le ciboulot et que j'ai vite atteind le niveau de saturation à peine arrivé ou point de connaissance de la chose néant + peu )

Même en admettant donc un déterminisme historique ,certe discutable, mais somme toute ,à la louche comme dans le cadre de l'étude globle du relationnel, est une tendance assez marquée, et donc en restant sur une variation circulaire des individus en translation rectiligne constante vers la mort, il manque manifestement le "nous", cette abstraction que l'ermite gomme pour étudier d'autres paramétres plus facilement.
Cette abstraction qui n'est pas une dimension à proprement prler et qui pourtant rend les frontieres avec l'autre extensible à l'infini. Le nous simple de Von Koch( ou du moins l'extrapolation nebulo neuronale que je fais de sa géométrie)est une sorte de dédoublement clone de chacun des individus qui s'articule en lien non superposés mais complénentaires l'un vers l'autre

si on reste à ce stade là...on a une courbe qui s'allonge à l'infini
Mais si le modéle de base est triangulaire, c'est à dire avec un nous au départ formé de la superposition pertielle des individus, on peut ensuite, si l'on reprend la formule de complémentarité absolue, sans superposition donc, tracer le superbe flocon qui fini par se stabiliser en surface totu en restant evolutif en terme de limites.
Et bisarement, ce resultat me fait ressentir une certaine analogie quand à ce qui mme plait en matiére de relationnel.
La stabilité dans l'évolution. Reste l'aspect prévisible de la chose qui me dérange...et là ,peut être, sauf à compter sur les variations dans la linéarité du temps sur lesquelles j'avoue n'avoir aucune prise ni aucune raison de croire pouvoir un jour en avoir une,, faut il voir à alterner complémentarité et supplementarité afin de parfois faire de ce "nous" a géométrie variable le grain de sable qui va démolir la monotonie réguliére du flocon totu comme il a pus le faire en refermant la courbe sur elle même pour passer se la ligne entre deux vides perdus dans l'infini a un triangle intime et péhensible au milieu de nulle part.

Entre les iterations conduisant à l'integrations de semi dimensions par juxtapositions et celles conduisant à retrouver des dimensions entiéres par superpositions partielles( la totale induisant une confusion en un point aussi fixe et mortifére qu'un clou de cercueil),je crois que la relation a l'aure permet de composer ue nébuleuse des plus polyvalentes.

La question reste: quelle fréquence est il judicieux de rechercher entre les ailes sur terre et les pieds au ciel?

Ben là, le flocon, il est pas près de se soumettre à la bête admission de la gravité terrestre dis-donc.

Déjà, faut que j'essaie de piger tout, c'est pas gagné! Parce que tu sais bien, mes flocons, ils ne se baladent pas dans une petite boule bien jolie qui pourraient limiter leur danse. Et là, je m'aperçois que ça pourrait faire croire à la contradiction de ce dont j'ai parlé plus haut pour le besoin de cadre raisonnable pour l'expression de ma "folie".
Mais non!
Mais d'abord me faut le temps d'essayer d'absorber sa ouateur neigeuse à toi...

Quand-même, je me suis dit...

"Allez, Nunuche, retourne-z-y. Cette fois, tu vas capter ce qu'il a voulu z-y dire, l'Alli. Déjà, tes capteurs instinctifs te préviennent qu'il y a vraiment quelque chose-là... Faut juste un peu de concentration "raisonnable"

Bon, j'avais vaguement entendu parler de Koch et de son bacille! En général, dans mes discut', j'essaie (sans les rejeter, hein?) de ne jamais trop me référer à des "Grands-Connus" quels qu'ils soient parce que ça implique toujours un peu une sorte de re-lien qui t'empêche de décoller tout seul...
Mais bon, c'est une autre discute...

Donc Koch...
Ben, t'es pas chié, quand même... tu n'évoques même pas le Koch que je sub-connais un peu mais CELUI-LA :

http://www.mathcurve.com/fractals/koch/koch.shtml


Bon alors, je vais voir un peu, hein... Mais je crois que j'y reviendrai à ma manière habituelle à ton post... Mais tu sais, déjà, il m'avait envoyé une drôle d'image de "savant fou" qui traçait à toute vitesse, des lignes droites, brisées, courbes sur le fond du décor de neige à l'envers! Et... ben pendant qu'il s'occupait du tracé "présent" tout le début s'effaçait et il continuait, il continuait...
Alors, ça donnait un tableau d'arabesques mouvantes, colorées, vives et éphémères. Mais chouette, hein? Tiens comme un chouette feu d'artifice...

Bon, vraiment, je vais voir s'il me reste quelques crépitances dans ma besace!

Ah ouais... je suis sûre que t'as fait exprès de me coller un matheux dans ma charette à gamberge!
N'oublie pas que ces gens là sont ceux qui voudraient me faire croire que les avions volent vraiment...

arte factuel et artifices, ciel!
Bon t'es pas trop en pétard, c'est déjà ça! Je trouvais que sa frictions dans les demi mesures mouvantes pouvait en un sens rationaliser justement le paradoxe de la folie libre sur un plan mais maitrisée si l'on veut l'aborder sous un autre angle.
Le coup des côtes bretonnes et des volutes du chou romanesco qui font toute la beauté du grain de sable... ou du nuage qui se prend pour un avion sans ailes!

Mais soit, je ne luth pas contre le côté peau éthique de l'animal bluesymental. J'élargissait juste dans l'aritifice conceptuel histoire de se prendre une approche du genou pas si conne, au risque d'y perdre en sensuel!

Ceci dit, aprés la neige, le printemps, avec ses bourgeonnements turgescents réveillant les pulsions fétichistes des alter gambettes. J'anticipe, ouais, dans ma pseudo science friction, mais quand c'est la fête à neu neu, le neurone ronronne et se laisse porter à décider parfois à quelque impudentes chateries.
Ach, c'est délicat de choisir entre un sentiment de synchronisation ponctuelle que l'on sait être éffémaire que l'on est tenté de prolonger et une volonté de projection à l'insu de son plein gré sous forme de proposition honéte qui risque de provoquer avant terme la rupture de la symbiose.
Finalement, tout se résume à une histoire de burne, encore une fois. Le sexisme on y coupera point!Pis d'abord, pourquoi vouloir couper alors qu'il suffit de détendre, d'étendre de répendre
Et la tendresse bordel?

Ouais, n'en déplaise aux afficionados de la rêverie sérieuse, c'est bon les liens en guimauve que l'on étire au coin du feu d'une commissure à l'autre. On les mache jusqu'à l'épuisement, gentiment, en se faisant du bien.
Pourquoi vouloir chaque fois s'arracher un tendon pour donner au tendron une gravité futile et inopportune?*

Moi j'aime bien jouer la sérénade sur un violon en sucre candide, dés fois.