No passaran

Y'a des trucs qui vous restent parfois en travers de la glotte pré hystérique...
Des trucs qui ne passent pas, un peu comme un excés de côte de beauf' sudosée en cholestérol que même la côte de nuit qu'est encore plus en pente que votre grand gousier n'arrive pas à terrasser.
Des trucs des machins des choses, façon pratique d'éluder l'anecdote pour rester dans un mecanisme.
Parce que l'effeuillage public, Margueritte, quand on a mes abdos de bibendum, vaut mieux éviter sauf à vouloir commetre un outrage à l'esthétisme. Mais ce n'est pas parce qu'on a des cors qu'on a pas les pied sensible. J'me suis collé des épines plein les boyaux dans les ronces des veaux mon général, et comme les pieds sont l'objets de soins attentifs et constants, j'viens m'faire pedicurer un ptit coup ,si des fois y'aurait pas un p'tit Q bien I comem on aimerait en croiser plus souvent qui saurait...

Ouais, les viscissitudes qui viennte vous pourir l'existance ne vous collant le nez dans vos limites d'actions, un peu comme des boots en peau d'bête au panards d'un antispéciste, ou ,sosu de fallacieuses excuses écologistes pronant la chasse au gaspi, l'économie d'un molotov dans la face, isthme de bêtise dans l'ocean de nos incertitudes et de nos lachetés, des tiraneaux insidieux qui veulent notre bien à l'insu de notre plein gré,parce que sinon ou en serait leurs promontoires de certitudes moisies?

On s'insurge, on villipende...et au final, on s'fait une tartine de biaux logiques sentiments pour se caller la dent creuse devant un écran, un bouquin, un picon bierre ou un copain. Ouais mais ca titille quand même d'être comme un chicon fadasse et ramoli dans la béchamelle gluante d' hedonisme pret à l'emploi sponsorisé au jus de truffe made in mére poule hard qui nous c casse ses Honfrays et les bats pour faire mousser ,à nous autres qui nous farcissons le franchissement du Couenon comme si c'etait le Rio Grande et que la Montagne du Sacro saitn Michel était la statue de la liberté . En plus ,enroulé par les gens bons qui tranchent à coup de guillotine citoyenne dans les "urnoirs"on se sent à l'étroi et on s'imprégne de leurs relans de fumé. Le gratin dorre sous les resistances à quartz merci pour lui, tout va bien. C'ets pas une molle endive qui va casser croute lipidique qui surnage au dessus du magma

Y'a surment des endives huereuses,qui se sentent si fraiches et croustillantes dans leur salade de granny smith et de vielles noix déséchées qu'elels ne voient mêm pas l'arriére gout amer qu'elles laissent sur le palais de qui les abouche.
Y'a aussi des poireaux, qui voient dans leur sortie de la boue collante du jardin une promotion
Se faire enrouler dans du Madrange, ça rend Veronique Genest presque accessible, finalement! Fluerit micheton

Ouais mais c'est pas le tout, quel que soit la farce le tout fini dans le plat, l'insipide, le concensus mou!

Je suis contre...what else?
Contre quoi, contre qui peu importe . Contrarié en tout cas dans mes véléités. Contrarié de ne pouvoir faire plus
J'ai bien tenté le yakatisme, concept philosophique puissant dont feue ma grand mére fut un des plus farouches et pertinants appotres en rétorquant( en phase déjà avancée de gâtisme) à une des co pensionnaires de sa maison de retraite, geignant dans son fauteil croulant sur ses varices douloureuses et invalidente ne lui permettant plus de gambiller le jaret fier et haletier
"on peut tout ce qu'on veut" avant de se dresser et de partir d'un pas alerte vers Diue sait quelle destination incapable de percevoir la stupeur dans le regard de la pleureuse qui fort huereusement était déjà assise.

Yapaka, manifestement, sinon au paradis sur terre on y serait déjà!

Alors on se rassure en se disant qu'on tends vers en recyclant ses petits pots de confiote en objets d'art,en achetant le verry best of des enfoirés, en petitionant pour la légalisation du canabis,en cultivant notre jardin comme des candides candidats à l'élection au bonheur

On se protége en évitant les miasmes mesquins de la non pensée, du non regard, du non partage, du non sens.

Pis on tourne en rond dans notre psychose, pas gentiment du tout....
Mais la béchamelle tranche pas pour tout autant

Putain, c'est comment qu'on freine? j'aime décidément pas les murs...

De la liberté des enfermés...

Bon j'ai posé le décors, on va pouvoir passer au scénario

On biaise pour eviter d'avori mal a en devenir aigri. Le rêve c'est magnifique. Quelques mots cris cue les maux, larres malfaisants qui nous asservissent afin que b nous continuions à leur vouer un culte pervers.
La loose comme justification de tous les excés. L'écorchement à vif pour poéter plus haut que son luth.
Petits artivfices de confort et morphine à pas trop cher si on a la chance d'être soi mêm cultivateur de substances hallucinogénes.
On jour le role qu'on s'écrit.
J'me la fairait bien précieuse ridicule... J'vais bouffer mon Littré jusqu'à l'indigestion, m'apprendre par couer les fleurs du mal, ecouter du bashung sosu ma douche,
Pis aprés je vais me faire l'incontournable zarathuostra pour pouvoir me targuer d'une ethique désabusée avec pédigrée,me balader dans les champs de maldoror pour pouvoir jongler de connivence avec les rats de bibliothéque en apprentissage.
Pis je passerai à Ferré biensur, voir même quelque torturé plus obscure pour pouvoir jouer les initiés avec les cultureux qui s'éclatent la libido avec Huysmans
Mais précieuse ridicule distanciée. Les maudits oui mais aussi les faux simples avec James et tonton georges. Vour prendrez bien deux doigts de Giono dans cotre colette?

Le distancié, comble du pédantisme qui crache dans le brouet qui nourrit son personage pour faire dans la punkitude grunge!

Ou alors on peut choisir le militantisme, tonton flingueur chez les rtichons, barbouze du sinistre de l'identité nationale, cagoulard du petit pére du peuple,voir même trés élégant, anarcho reitre
C'est bien le militantisme, on se sent être ne defilant, décrétant oukazant recasant argutiant harcellant.j'ai du zéle occulte,ca fait de moi un ange déçu? Y'a la cause, ca fait de la conversation. Pis c surtout, ca donne de l'espoir à ceux qui n'en ont pas et du pain dans la geule de ceux qui en ont une autre. Une fracture associale, ça défoule indeed?
C'est bien le militantisme,mais un jour on se rend compte que ca sert à rien. le tout est d'avori assez de réthorique pour que persone n'ose vous le dire...ou alors un bon manche de pioche,c'est selon!
Pis ca se décline. On fait dans l'associatif, la suavegarde du patrimoine et l'aide aux enfants de toxicomanes incontinant mutilés de guerre exilés politiques. Ou dans la conscience éco citoy responsable

Y'a évidement la valeur travail. Bon faut aimer avoir mal, là, pour aller faire des chaussons ou des pinces à linge, ou alors avoir un gros besoin de cantiner. Mais le plan de carriére, les projection sur l'avenir de l'entreprise. ses analyse micro et macro economiques des marchés, les comérages ,aussi à la machine à café ou radio chiotte diffuse en sourdine les coucheries du jour, les intrigues de cour pour les prises de pouvoir cavaliéres....
Et puis la fiereté de voir ,chaque fin de journée, le travai labattu. Ouais, j'ai coulé trois lingots de polycarbonate extrudé ,et ce grace à mon esprit industrieux, ma maitrise du processus de laminage à froid avec la touillette a vinaigrette à décompression verticale.
La saine emulation qui offre le défis de demain,parce que si vos collégues sont de bons colégues, ils jouent à qui demoulera le plus vite et le plus grso. C'est plus higiénique que le concour de branlette, et surtout ca prends pas loin d'une vie pour maitriser l'éjaculation précoce. On a des ingenieurs qui s'ingé"nient à numeriser d recalibrer, intégrer de nouvelles particules ,afin de renouveler le challenge personel et collectif. Ca durera... Assez longtemps pour moi!
My name is Noé. Batisseur d'arches, à la défonse à la dopamine assumée. Un footing pour s'entretenir?

.....Y'en a d'autres ,mais je nevais pas totu dévoiler d'un coup, aussi sec!

On affine, on développe...
On appelle ça être alors que c'est du simple parraitre.

J'veux des violettes ,dediou, et du vin d'Arbois.... Mais comme la bonne du Curé, j'voudrais bien ,mais j'peux point!

Moteur... on fait tourner!

revenons à nos chics cons!
Ironique ta mére prise 1/???l'infini....!
La pirouette de la lucidité déculpabilistrice tempérée par le rire qui donne l'impression à l'enfermé dedans qu'ils n'auront pas sa liberté de pensée exilée en patagonie. L'acteur fibreux joue son rôle de décomposition avec d'autant plus d'aisance qu'il se sera immergé, via l'acteur studio, dans différantes peaux, de chambres en chagrins, de confiture en vaches!
La quintescence de l'art du dérisoire étant le one man show. Reste juste à se produire pour advenir un brin. Scene alternative virtuelle ou corps accords physiques. Peu importe, les recettes restent les mêmes et le pyrex à la vie dure,donc inutile de sortir vos mouchoires pour dire à Dieu:
"Hey j'suis là, j'vais ou ,j'fais quoi?"

On a des pommes, des livres, le verbe...y'a moyen. Le huitiéme jour il n'a pas fait Saint georges dans un ultime course de côte. Il s'est reposé pour terminer sa nuit!

On se fait un joli traveling esthétisant avec Lucky Luke qui parle à son cheval vu que sa tête est malade dans le soleil couchant. Ca sent les arroyos qui attendent la pluie pour que le sol verdoie, alors que le ciel rougeoie et que soeur Anne merdoie en ne venant pas. C'ets viril et beau comem un bison fûté sur l'autoroute des vacances. Ouais on glisse lentement sur le melo...
Un petit zoom sur les poussées affectives,ça donen du beaume au couer, pas vrai. En elel la péniche et lui n'est pas que beau. Les nuages virent v couleur Cartland, le parc d'attraction pour quand Cendrillon ,devenue grande, se barrera de chez mickey pour aller faire des momes avec oncle Ronald, le cowboy ,pas le clown, on na va pas virer imédiatement au comique troupier.
Ne vous pendez pas trop vite, attendez que le générique de fin vous cueille s'il vous plais.
J'ai recruté trop de figurants pour que la production s'arrête faute d'acteur.
Allez, venez, passez de l'autre côté de l'écran et venez bruler les planches. Le Kanun attands la braise pour que se méle les parfums. Venez et entrez dans la céne! Quitez la marne qui vous englue, sautez dans un taxi nomé désir( Si c'est naceri au volant prenez le suivant faut rester prudent!) Venez et jouez, même mal ,même faux .
Aprés on visionnera les rushes et qui sait, peut être, on arrivera a trouver comment passer à l'acte. J'ai l'arrogance trop en panne pour continuer en solo!

Cette nuit, j'ai mis à mariner une Kunderie rapportée par Monnard. J'avais un petit creux de vague et la lame affutée pour sabrer les pas beaux étrangers comme un vieux pirate oscillant entre le Béble oued et la Trinité sur mer, avec la 12,7 en bandouliére . J'ai vomi un peu partout vous cochonez pas les pompes en entrant, j'ai la flemme de serpe piller les topics!.
N'empêche que, trés au delà du propos initial, il aouvre avec une verve bandante la boite à souvenir, cet extrait...
J'me permets de l'adapter un brin,modestement, parce que quand même, c'est du beau qu'on va disséquer, pour passer du porno impromptu au Woody version chiante, introspectif et caustique
C'est pas du répèté et pourléché,ni du spontané. C'ets juste du slam de clavier en fait, une impro sur un théme préparé.

Stardust memories V1.0:

Le Iatus entre le journal de Joseph et ses réminiscences et la faille de creativité subconsciente qui s'en dégage. Au final, tout comptabiliser façon épicier scrupuleux comme un chroniqueur de torah concerve le factuel dans le formol
En 14, y'avait des tranchées. C'ets bien de le savoir,ça évite de se demander à quoi ca sert, puisqu'on peut visioner les tanks Renault imortalisés à l'INA piquer du nez en pleine bataille. Je passe les cohortes de mirmidons glaiseux rampant entre les étançons.
On peut en tirer ensuite ce que l'on veut et peut( aigreur, colére, nostalgie...)
Mais quid du ressenti des rescapés et surtout de la vie de ce ressentit au fil du temps?

Finalement, c'est pas trop le temoignage mémoriel subjectif 20 ans aprés qui importe, mais ce que le temoin en fait. On s'en fout, mon bon Joseph, de ce dont tu te souviens ou pas,mais qui est tu et surtout que fais tu de tes déformations reminiscentes? Ben j'ai comme le sentiment que là est une clef de voute de la nef menant à la vie intelligente.J'suis pas bien sur qu'en fait, ce soit à intellectualiser( on peut, je ne suis pas sur le tabou)... Justement, en intellectualisant, on devient constructeur actif au liue de se laisser devenir temple du créateur passif. Des dissonances entre factuel et mémoriel naissent des accords surprenants, inédits, allant de Fauriston à la lecture obligatoire du p'tit Moquet chez les têtes blondes. Dit comme ça, ça fait pas envie, j'en conviens. Mais entre y'a ce qu'on en fait nous, individuellement, des tranchées qu'aucun de nous n'avons pu vivre. On les veut par Leroy Ladurie ou par le chemin des écoliers dans les colines d'Argonne, entre chien et loup, en automne,confortablement assis au volant, en revisitant nos souvenirs anachroniques de l'Hubert Félix dans le Blaupunkt?
On les veut pseudo objectives ou subjectives assumées, revandiquées voir même entretenues comem telles? On superpose au boucher de Hurlus la mélancholie insidieuse d'un sentiment de fin de quelque chose qu'on interprétera plus tard, pour nous rassurer en entretenant l'illusion de maitrise par la gnose si chére à l'humanoïde, comem étant un pressentiment de rupture, si possible affective. La coîncidence irrationelle faisant flipper le pétri de déterminisme historique ,camarade!

le retour de la vangeance (stardust memories part II ) V1.0:

pis doucement on vous raméne au covoiturage mémoriel. Si t'es deux tu t'ancre. Le duel des egos forge la mémoire du couple, en creant des barycentres entre les individus pondérés qui se compromettent en se promettant la lune ou la haine, les jours de bonen fortune, se tolérant la pluspart du temps. Tu peux malgré toi traverser l'Argonne en écoutant Yanick noha. C'est incongru, quoi que le tirailleur camerounais, c'est possible, non? Voir mêm passer par l'autoroute...

Mais baste, remettons nous dans la configuration rarissime et osomotique du couple, ne modifiant aucun des paramétres.. On boira les images de l'autre, partiellement et l'autre faira de même, Au final ce sera du panaché qui sera mis en bouteille pour les soifs référentielles à venir.. Merci Monsieur Milan !

Mais on revient encore et toujours à ce que l'individu faira de son stock .Parce que boire de concert, systématiquement, c'est de la clonerie que de croire que c'est humainement possible.

Ca nous raméne aux limites interactives du one man show...Mais ca limite aussi la possible improvisation parce que l'autre attends sa réplique. Merde Robert, soit à ce qu'on te dis !
Si l'interaction nourrit en proposant plus ou moins fermement l' interpénétration,elle l'enferme aussi dans un devoir d' allienation d'une partie de son potentiel créatif "instinctif".

On en revient donc aux problémes de genoux si sensibles...

Au fait, t'as de beaux je-nous toi,comme dirait une des plus sexy des gambettes de mes connaissances?

Ca va sinon Alli ?

ben nickel ouais...

CUT!

L'interret du cinéma, en cela il reste fort supérieur au reality show des en orgueilleuse recherche d'autentique, c'est qu'on peut le remonter et le demonter façon bébé Shoppenauer pour refaire un film différent.
On s'prend pour un Klimt en verve, ça fait du bien à l'égo de s'emboiter les neiurones et de se déboiter les rotules!
J'suis passé picorer dans un verger, lors d'une petite fugue dans la brume de ce gloomy afternoon,
Y'avait des cerises. C'était cool, dans ce pré vert.(Ca me fait penser qu'avec la numérisation du cinoche, on a de la peloche aver des fruits hors saisons qui finissent par se chopper un goût d'intemporel.) Mais revenons en à nos cerises avec le moi en noyau dur et la chaire en apparté, haché menu et réassaisonnée par quelques co agitateurs nottoires, à base d'alter fibres recyclées macérées dans du vieux rhum quasi jamaïcain parfois.

Ce que ça disait, c'est pas vraiment à moi de le répèter. Sous mes dehors cancannier, j'ai le respect de la pudeur de qui choisit son public pour devoiler ses rushs internes,mais ce que ça me disait, c'était qu'à force de plier les articulations dans tous les sens en vue de s'arracher la quintescence intime du magma sociétal, on fini par tourner en rond. Sauf à être planté dans de la fibre de pulpe décomposée, le noyau( moi) ne se recomposera jamais en ceriseir ,mon vieux Jacques!
Mais ce qui m'a interessé, dans ma balade megot à la lippe comme à l'accoutumée, c'est en fait cette volonté de savoir ce qu'il y a ,à l'interrieur d'une noix de disque dur, avant formatage.
On peut imaginer des cerneaux v fabuleux, des mondes liliputiens des mises en abyme vertigineuses et miraginueses....mais quand elel est ouverte, on la croque et puis voilà. On c'est pas l'enfer, jean sol, c'est juste les autres. Ni bon ni con. Différent ,simplement. Et si Moi ,je ne nourrit pas l'autre, je vais la gagner comment ma croute de pelliculeux?
Marrant d'autopier avec la langue un truc qui n'a de raison d'être que par le divin verbe,et donc par définition, les milliards de bouches qui ont uni leurs lévres pour déposer sur nos âmes animales sce supplément d'humanité qu'est la langue justement. Et on se targue ,grâce à cela, de retrouver le craquement primal de la noix. La fission du noyau n'est pas due à l'Albert, mais à tous ceux qui sont venus avant lui et qui sont venus aprés( j'oublierais presque ceux qui sont venus pendant. )
On les a recupérés...et alors. Société, tu m'as déjà!
Ceci dit, un petit coup de ciseau pour inserrer cette verge féminine dans un plan sequence en 25 ieme image,en homage à Tyler Durden, un héro dont le costume 70ies est des plus distrayant.

Alli B. Good a écrit:CUT!


Ceci dit, un petit coup de ciseau pour inserrer cette verge féminine dans un plan sequence en 25 ieme image,en homage à Tyler Durden, un héro dont le costume 70ies est des plus distrayant.

Reférence au film excellentissime tiré plutôt fidélement du roman de Chuck Pallaniuck

FIGHT CLUB ...dont Tyler Durden est la clef de voute

La verge feminine, c'est clair?

Clap!
check les maths scene 1/2 prise surprise pas bien définie

Pis moi et moi et moi au milieu de 500 miliards de petits chinois qui me casse le citron a essayer de sortir autre chose que du jus de chique de mes improptus improvisés. On s'fait un traveling arriére pour sortir le nez du guidon et on en revient à ce qu'on croit esquiver la mise en science parce que trop complexe. J'sais pas faire donc inch Allah. J'sais pas pourquoi, donc ça irra!
J'ai pas le choix sur... Mais je décide d'arrêter ou?
J'la pose ou, le foutute limite ?
pis pour délimiter quoi? mon champ d'action en fonction de mes possibles?
Soit, admettons que mon champ soit un joli carré. J'me balade jusqu'au confins de mes possibles. Je sais quand que j'y suis? Ben quand j'me colle les fesses dans l'barbelé de la necessité de rebrousser chemin si je vais vers mes limites à reculon ,voit quand je m'emplafonne le faciés dans l'insoluble cheval de frise dressé par l'autre pour protéger son champ.... Dressé par l'autre, faut voir, mais bien là, j'en veux pour preuve mon arcade qui saigne!
j'le prend caré pour la faire simple au niveau des conditions initiales. Mais là déjà, on peut limite faire un fondu dechainé sur la théorie du chaos parce que le postulat de le forme geométrique basique n'est pas démontré comme étant un modéle universel. On peut même coller les probabilités de notre côté en admettant qu'il a toute les chances d'avoir une forme des plus complexe, bisaroîde et non stndard, notre périmétre des possibles initial.
Alors , pour combiner le tout en faisant méf à l'effet papillon avec mes p'tits chinois, j'suis pas sorti du tamis, les amis! On pourrait s'barrer sur la lutte des territoires si on se fige à l'instent t...
On a décidé qu'on parlerait de moi, donc on va iglorer et décider que le tétris, cup de pot, s'articule pas mal et s'arranger avec mon carré simplificateur, parce que là déjà, ça promet d'pas être simple.
Une fois sur ma barriére, j'ai l'option de la troisiéme dimension. Sauter par dessus ou passer par en dessous...Ouais mais rapido, j'vais bien me rendre compte que je suis dans un cube...
Un petit retour sur another brick in the wall pour donner de la cohérence au show, dés fois que y'en reste qui se soient pas endormis,des teignuex courageux spectateurs que je remercie...

Donc me voila défini comme solide en 3d, soumis aux aléas de la variable temps...le temps qui erode, recompose, mollit...
Et mes contours de possibles dans totu cela? Peut on accroitre la surface ,donc repousser les limites d'un solide alors que son essence soit son volume, est de toute façon defini au départ?
Bah gardez espoir vous qui avez fait le tour de vous même et vous sentez à l'étroit dans vos petites boites...c'est possible

Scene 2/2...

Gan gna gna,merci les dimensions intermédiares ouvrant le fabuleux univers des figure fractales.
L'infini à portée des mortels? question de temps encore une fois parce qu'il y a un début et une fin de l'individu...de là a dire la mêm chose de la vie, par antropocentrisme rassurant, voire...

question de changement d'échelle. On ne repoussera jamais ses limites au dela d'un seuil infranchissable. Putain c' que ca fait mal de se cogner les limites!
Je ne parle pas de celles que l'autre veut nous imposer mais de celles qui s'imposent d'elles même.
Mais les dites limites, on peut les fractioner, les modeler, jouer encore une fois sur la forme pour accroitre les surfaces de contact sans empiéter,sans bs'goinfrer la part d'oxygéne du p'tit frére ou d'la vieille qu'en fini pas d'crever!
En allant vers l'infini ment petit, le pinaillage, on s'ouvre des breches de liberté d'errance infinies. Faut pas viser grand quand on est même pas une poussiére de nanotube dans l'univers...et qu'on a pas l'eternité devant soi pour faire le tour de la question. Le temps qui passe à part la poésie, j'vois pas comment composer avec. C'est pas désagréable , au demeurant, mais l'espace, on peut jouer.
Hey toi, la synchronicité, tu t'arranges comment avec ça?

On coupe pose régie...Y'a des graines et du vin sosu la tente...J'vais m'en rouler une pour m'reposer un brin. Y'en a qui viennent aussi au fumoir?